Cette peinture oppose un corps d’enfant de dos à un visage frontal d’adulte, l’insouciance de la robe en dentelle au sérieux du visage, l’esprit du corps, la pensée de l’acte. Le tout est pourtant relié par un l n mais tangible, réel. Le format plus grand que nature fait que l’enfant nous dépasse. La dissociation entre le corps de l’ enfant et la tête ottant comme un ballon se veut violente et intriguante. Mais est-ce la sienne ? Est-ce une seule et même personne ? L’expression «avoir la tête sur les épaules» signi e être lucide, cette image est symbole d’équilibre. Est-ce ici l’équilibre qui est rompu ou bien la dissociation entre ce qui est et ce qui semble être ? Charles Pennequin parle de l’indivisibilité de soi, que l’on ai une vie caché et une vie présente. Et tout est mélangé.
Cette peinture m’a permis de mettre en exergue...
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Cette peinture oppose un corps d’enfant de dos à un visage frontal d’adulte, l’insouciance de la robe en dentelle au...